Caliméro a écrit:Bonsoir !
Llewellyn a écrit: Mais les autres langues ? Je ne sais plus leur nombre, qui est impressionnant, et Joanne ne peut toutes les connaître.
Il me semble, si mes souvenirs sont exactes, qu'Harry Potter a été traduit dans plus de 62 langues...
Certains pays ont même des ouvrages en différents dialectes. En Espagne par exemple, il est possible d'acheter le livre en
Espagnol,
Basque,
Catalan et
Gaélique.
Pardon Calimero, le Catalan et le Basque ne sont pas des dialectes mais des langues définies comme telles en ESpagne, au même titre que le Castillan langue que tu appelles communément l'Espagnol
Ta liste est censée apporter quoi ? Ce sont les traductions du titre du tome 1, quel intéret ?
Mais ne t'avise pas de nous mettre les 6 tomes suivants avec leurs titres originaux s'il te plait

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Llewellyn a écrit:En guise de conclusion (personnelle) et après relecture de tous les messages :
- il y a les langues du "vous" comme l'anglais ;
- les langues du "tu" obligatoire ou au moins courant ;
- et le français, où l'usage du "tu" et du "vous" est assez strict mais compliqué, suivant la personne ou les circonstances, ou les deux !
En somme, nous serions les plus mal placés sur le plan culturel des comportements sociaux, ou bien les plus compliqués ??
Et je m'étonne de votre étonnement : dans d'autres écrits en espagnol (etc.) du même genre que Harry Potter, ce tutoiement est-il la règle, ou l'exception ???
Je ne sais pas, je ne lis pas de traduction d'anglais en castillan normalement, c'est exceptionnel.
Dans les Reliquias de la Muerte (RM), seul tome que j'ai lu dans cette langue, Harry tutoi Lupin, Fol Oeil, Hagrid, les seuls qu'il ne tutoie pas sont Dumbledore, les parents Weasley et les professeurs.
Si ce problème de tutoiement me gène dans la traduction espagnole dirons nous, c'est parce que mon approche du livre n'est pas la même, il est donc normal que je sois un peu "destabilisée" (j'ai lu la série en entier uniquement en français)
Voilà je ne sais pas si je suis bien claire !
"L'écriture, c'est ébranler le sens du monde, y disposer une interrogation indirecte, à laquelle l'écrivain, par un dernier suspens, s'abstient de répondre. La réponse, c'est chacun de nous qui la donne, y apportant son histoire, son langage, sa liberté." Roland Barthes