Hou lala, pas facile de trancrire des théories en étant concise et claire, mais je me lance.
@Poupou j'affute j'affute...

(réponse à son mp)
Dumbledore avait il le choix ? That's the question, to choose or not to choose...
Le problème est qu'il existait bien 2 connections entre Harry et Voldemort.
L'une résidait dans les baguettes et l'autre dans l'esprit de Harry, transmise par ladite baguette.
Donc a priori je répondrai que non il n'y avait pas d'autre choix. Harry était bien obligé de se séparer de ce morceau d'ame impure, qui lui collait à l'esprit depuis son plus jeune âge.
Et puis la prophétie était dite.
Par contre sur la manière pour y parvenir, je ne suis pas sûre que Dumbledore ait fait les meilleurs choix. Par exemple, pourquoi ne pas en révéler un peu plus à Harry, concernant Rogue.
Bon ça c'était un de mes vieux rêves, que Rogue et Harry combattent ensemble contre Voldemort, leur ennemi commun. Je ne demandais pas qu'ils soient amis cela non, c'était impossible.
Et pourquoi ne pas dire à Harry plus de choses, sur les horcruxes, sur les reliques, puis que tout est lié.
Le chapitre King's cross est primordial pour bien comprendre le cheminement de Dumbledore, mais aussi les pensées de Rogue.
Je ne comprenais pas pourquoi Dumbledore ne voulait pas en dire plus à Harry concernant sa main brulée, la honte l' a rongé (sans faire de jeu de mots), il a oublié ce qu'était l'objet et a oublié qui il était lui ou plutôt qui il avait été, comme quoi on commet des erreurs à tous les âges, et la sagesse s'acquiert difficilement. Mais j'ai l'impression que Rogue n'aurait pas commis cerre erreur de mettre la bague à son doigt.
Alors là je ne peux pas faire autrement que d'avoir une pensée très rapide pour Gandalf qui, lui refuse catégoriquement de toucher l'anneau!!!!
J'avais d'autres choses à dire mais je suis au boulot, pas facile...
"L'écriture, c'est ébranler le sens du monde, y disposer une interrogation indirecte, à laquelle l'écrivain, par un dernier suspens, s'abstient de répondre. La réponse, c'est chacun de nous qui la donne, y apportant son histoire, son langage, sa liberté." Roland Barthes