par MANATH » 03 Juil 2007, 19:55
Regulus a parlé de prise de conscience pour Drago.
Adolescent, il commence à se rebiffer devant l'autorité parentale, et commence à avoir des doutes sur le bien fondé des actes de son père. D'accord, mais son revirement ne peut être total, il faudrait qu'il reconnaisse Harry, et cela je pense lui est impossible.
Donc la prise de conscience, je n'y crois pas trop. Je pense qu'il veut faire ses preuves, peut-être pour être reconnu par son père (il a besoin de son père et jusque là, on est tous d'accord que Lucius n'aime pas son fils comme il se devrait), reconnu par Rogue (un père spirituel ???), et Voldemort sûrement. Après tout, comme l'a remarqué Ollivander dans le tome 1, Voldemort a fait des choses terribles, certes, mais il faut lui reconnaitre qu'il était un très grand sorcier (ce ne sont pas les paroles exactes).
Alors l'avenir de Drago, je ne l'imagine pas bien rose. Peut être voudra t-il se venger de Harry, il peut considérer Potter comme responsable de toute cette situation (si l'on se situe du côté des Mangemorts), et donc essayer de le tuer.
Ou bien va t-il être tué par un personnage, quelqu'il soit, de toute manière, j'imagine mal la saga se terminant par la victoire de Voldemort.
Je ne le vois pas non plus errer comme une âme en peine, après la chute de Voldemort, en ruminant de sombres pensées. Il faut donc qu'il meure.
Narcissa se consolera dans les bras de Rogue, qui sera définitivement acquitté (!!!), Lucius mourra dans la bataille finale, ou se suicidera (bien que je ne le vois pas faire cela, ou bien Dobby l'aidera, ça, c'est possible), et Bella sera tuée par Tonks ou/et Lupin qui vengeront ainsi leur cousin et ami.
Reste Queudvert qui devrait un jouer un rôle mais autre thème autre topic.
Voilà Loufoca Logica tu as très bien fait de relancer la discussion ici. J'ai bien déliré (lol)
"L'écriture, c'est ébranler le sens du monde, y disposer une interrogation indirecte, à laquelle l'écrivain, par un dernier suspens, s'abstient de répondre. La réponse, c'est chacun de nous qui la donne, y apportant son histoire, son langage, sa liberté." Roland Barthes